Développeur PHP expatrié à Montréal : Interview d’Olivier

Olivier, p’tit gars du nord de la France, a rejoint la capitale pour le travail comme le font la plupart des Français. Neuf ans plus tard, il a décidé de faire le saut dans l’inconnu et de rejoindre ses homologues québécois en tant que développeur PHP à Montréal afin de continuer sa carrière professionnelle dans le grand nord.

Cette décision reflète le véritable coup de cœur qu’il a eût envers le Canada, lors de ces différentes vacances passées dans ce pays. Il a pu tomber amoureux :

  • des paysages avec leur charme naturel
  • des gens avec leur ouverture d’esprit et leur bienveillance
  • de la culture du pays et de sa diversité
  • du climat avec ces saisons bien marquées

Ce sont tous ces critères qui l’ont séduit et lui ont fait franchir le cap de quitter la France vers ce nouveau pays. On en a profité pour lui poser quelques questions afin d’en savoir plus sur son expérience d’expatriation en tant que développeur PHP à Montréal.

Comment s’est déroulé ton expatriation en tant que développeur PHP à Montréal ?

Vu que mon coup de cœur pour le Canada remonte à 2012, j’avais déjà réalisé des démarches similaires d’expatriation pour ce pays. Toutefois, pour des raisons personnelles, je n’ai pas été jusqu’au bout. Néanmoins, une chose était claire pour moi : je voulais impérativement trouver l’entreprise canadienne avant de quitter la France.

Les processus tentés 

Je suis quelqu’un d’assez cartésien et organisé, je m’étais donc renseigné sur le processus d’immigration au Québec et un changement de pays reste une procédure assez lourde : on quitte son logement, son cercle social et familial ainsi que son confort quotidien. Tout ça, pour quelque chose de nouveau et d’inconnu. Je voulais donc à minima me garder une certaine sécurité, et être assuré d’avoir un travail à mon arrivée. Donc lorsque j’ai repris en fin d’année 2018, mes démarches pour partir au Canada. J’ai ainsi, tenté 2 processus différents :

  • Démarcher les entreprises par “LinkedIn“, en contactant des responsables techniques canadiens, mais sans être sur place, c’est assez compliqué de se synchroniser avec eux.
  • Obtenir des entretiens sur Paris lors du déplacement d’entreprises montréalaises.

J’ai obtenu des entretiens, qui se sont concrétisés par des offres pour certains, mais malheureusement aucun coup de cœur ne m’a fait choisir une entreprise en particulier et finalement, rien de très concluant pour moi. Puis, en furetant (petit mot québécois, pour dire “en navigant”) sur mon fureteur, un soir je suis tombé sur le site de “Maplr” : le site m’avait tapé dans l’œil, il mettait en avant les valeurs canadiennes que j’avais rencontrées dans le pays, et qui me tenait à cœur.

Le processus Maplr

J’ai donc rempli le formulaire de contact, et j’ai été recontacté très rapidement par Marion de Maplr. Elle voulait voir avec moi :

  • Quelles étaient mes intentions ?
  • Quel était mon projet d’expatriation ?
  • Quelle était ma personnalité ?

Après 1 h 20 d’échange, elle avait toutes les réponses à ces questions et moi, j’étais entièrement emballé et heureux d’avoir pu échanger avec elle, car en plus d’avoir une personne qui écoute avec attention ton projet d’expatriation, et qui croit en lui tout aussi fort que toi. Marion, est une personne bienveillante, gentille, enthousiaste et dynamique, et de surcroît développeuse donc lorsqu’on lui parle technique, algorithmie, et/ou méthodologie de travail (AGILE, SCRUM, …) Cela ne sonne pas comme de simples mots et/ou concept, mais ceux sont des notions qu’elle manipule au quotidien

Elle parle le même langage que nous, donc impossible à bullshit, d’ailleurs elle peut même nous challenger sur des concepts précis, ce qui est valorisant pendant un entretien. Donc même, si les développeuses sont rares dans notre métier, je suis fier de pouvoir dire que j’en connais une très talentueuse.

L’entretien une fois validé, Marion m’a dit qu’elle me mettrait en contact dans les prochains jours avec des entreprises canadiennes qui correspondent à mes critères de recherche. Et cela c’est passé exactement comme elle me l’avait dit : quelques jours plus tard, un entretien Skype a été planifié avec une entreprise dans le domaine des médias qui recherchait un développeur PHP à Montréal.

Je n’ai d’ailleurs passé que cet entretien là … Car mon profil correspondait à ce que recherchait l’entreprise, et cette dernière répondait entièrement à tous mes critères, à savoir :

  • Avoir de la bienveillance et de l’humain au travail.
  • Garder ma Stack technique dans laquelle j’évolue depuis 9 ans.
  • Un projet ambitieux et intéressant.
  • Pratiquer les méthodologies agiles

Coup de chance moi ? Je ne pense pas, je dirais plutôt que j’ai été magnifiquement bien cerné par l’équipe Maplr, et qu’ils ont su me mettre en relation avec la bonne entreprise.

Une fois l’offre d’emploi signée, j’ai commencé les démarches administratives pour avoir le fameux sésame : ce permis de travail qui m’autorise à travailler au Canada (Il m’a fallu 1 mois environ pour disposer de ce papier).

Une fois ce papier obtenu, mes valises bouclées, un billet d’avion en poche, direction l’aéroport de Charles de Gaulle, destination : Montréal. Le voyage fut un peu long pour moi (environs 7h45 de vol)
Mais une fois arrivée, quel bonheur d’être sur le sol canadien.

Quelques jours ont suffi, après mon arrivée pour gérer toutes les démarches administratives
(RAMQ, NAS, …), cela tombait plutôt bien, car 3 jours après mon arrivée, je commençais déjà mon nouveau travail dans mon nouveau pays d’accueil : le Canada.

Cela fait déjà 7 mois, et je suis complètement satisfait et plus encore, de ma nouvelle vie québécoise.

olivier-dodgebow

Quelles difficultés as-tu rencontrées lors de ton expatriation à Montréal ?

3 difficultés me viennent rapidement en tête.

La 1ère difficulté : la contrainte de temps

En tant que développeur PHP, en 9 ans, j’ai connu 5 entreprises. A chaque fois que je voulais changer d’entreprises pour X raisons, je voulais toujours assumer cette décision et je décidais toujours de démissionner de mon propre chef. Malheureusement, étant embauché en tant que cadre, j’ai toujours eu à faire mes 3 mois de préavis et cela était à chaque fois non-négociable. J’avais donc pris l’habitude d’attendre 1 mois après ma démission avant de commencer la recherche d’un nouvel emploi parce qu’à l’heure actuelle, notre secteur est vraiment porteur.

J’avais donc appliqué cette stratégie pour mon projet d’expatriation :

  • 2 mois avant la fin de mon préavis, j’ai commencé les démarches pour rechercher un travail au Canada. 
  • En tentant, le démarchage par LinkedIn, cela m’a pris 1 mois pour venir à bout de tous les process/entretiens. Mais cela, n’a pas été très concluant. 
  • Le dernier mois, j’ai rencontré Maplr, qui en 20 jours, m’a permis de signer l’entreprise.
  • Finalement, il me restait 10 jours à faire dans mon entreprise et 20 jours à attendre mon papier qui me permettait de travailler au Canada.

Étant un élément clé au sein de l’entreprise dans laquelle j’avais démissionné, j’ai tenu mon poste jusqu’au bout, c’était un choix qui me tenait à cœur.

Mais, donc finalement, je n’avais plus que 20 jours, pour clôturer tous les papiers administratifs français avant de partir (impôts, taxe d’habitation, appartement, téléphonie, internet, GDF/EDF, …)

J’avais également fait le choix de vendre tous mes biens avant mon départ.

J’ai fait mon maximum mais je ne suis pas arrivé à finaliser l’ensemble des démarches, j’ai donc dû terminer certaines démarches sur le sol canadien, ce qui fut assez complexe.
Mais finalement, tout se termine bien dans l’ensemble.

La 2nde difficulté : Résiliation précoce de mon forfait téléphonique

En résiliant, beaucoup trop tôt mon abonnement téléphonique, cela m’a posé beaucoup de problèmes lorsque je suis arrivé sur le sol canadien, car je n’avais plus de data, pour interroger Google Maps pour voir où se situer et/ou appeler un Uber.

J’avais également oublié de retirer ma double authentification (par téléphone) sur certains systèmes financiers comme ma banque, ce qui m’a handicapé grandement quand j’ai voulu récupérer/transférer mes fonds.

La 3e difficulté : Rapidité pour signer un appartement vs réception fond français.

Arrivant sur le sol canadien, mais n’ayant aucune connaissance dans le pays, j’ai donc dû prendre un hébergement dans des Airbnb, hôtels, le temps de rechercher un appartement. Sauf que je n’avais pas anticipé que si l’appartement me convenait et que je convenais au propriétaire, la signature était quasi instantanée et je pouvais emménager aussitôt dès lors le paiement reçu par le propriétaire.

Mais cumulant, le souci de ma résiliation téléphonique, j’ai eu du mal à obtenir mes fonds et j’ai reçu le jour même mes fonds pour la signature et la remise des clés le soir même.
Sachant que le marché immobilier évolue très vite à Montréal. Je pense que si je n’avais pas eu les fonds à temps, l’appartement me serait passé sous le nez car il y a beaucoup de demandeurs.

Si je peux ainsi donc vous donner 2 conseils sur votre expatriation par rapport à mon expérience vécue, cela serait :

1) Prenez bien votre temps pour clôturer tout ce que vous devez fermer/résilier en France avant de partir, car le faire à distance, c’est contraignant.

2) Gardez un forfait téléphonique français pendant 1 mois ou plus, le temps de gérer la transition de pays tranquillement.

Olivier-developpeur-Montréal-Chalet-Maplr

Que penses-tu de l’accompagnement offert par Maplr ?

Divin, exceptionnel, et sans égal je dirais.

Je suis le genre de personne a aimé faire les choses par moi-même pour ne rien devoir à personne.

Toutefois, l’aide que m’a apporté Maplr, afin que mon projet d’expatriation se concrétise, à travers :

  • Des procédures administratives à réaliser entre la France et le Canada.
  • Le temps et l’écoute dont ils ont fait preuve
  • Le soutien et l’appui qu’ils m’ont fourni au quotidien m’a permis d’atteindre mon objectif dans les meilleurs conditions imaginables.

De plus, ce n’est pas juste une aide à un instant T, pour concrétiser mon projet.

Marion et Maxime, ont construit une communauté, une famille qui s’entraide : avant, pendant toute la démarche d’expatriation et après être arrivée sur le sol canadien ils sont encore là pour prendre soin de nous, pour partager des bons moments ensemble. Ils m’ont permis de concrétiser mon rêve et cela je ne l’oublierais jamais.
Olivier

Développeur PHP à Montréal

Que penses-tu du coût de la vie en tant qu’expatrié développeur à Montréal ?

J’espère que jamais aucun canadien ne lira ma réponse, mais dans l’ensemble moi qui est vécu principalement à Paris : je trouve les prix à Montréal plus bas qu’à Paris, et ils me semblent correct.

Concernant l’immobilier :
A Paris, j’ai eu 2 logements différents :

  • Un 35m² pour une valeur de 980 € dans le 17e (semi-meublé)
  • Un 56m² pour une valeur de 920 € dans le 92. (non-meublé)

A Montréal, je dispose d’un logement de 62m² pour une valeur de 1080€ (meublé) et quand il parle de meublé, c’est complétement meublé, à savoir :

  • TV Écran plat 108cm 4K
  • Frigo américain, Four américain, Lave-vaisselle
  • Laveuse (grande capacité), Sécheuse (grande capacité)
  • Canapé
  • 1 chambre avec un lit King & 1 chambre avec un lit Queen.
  • Ustensiles cuisine, de salle de bains, pour le nettoyage.

Concernant les impôts, cela est assez égale par rapport à Paris.
> Sachant toutefois, qu’à Montréal, la taxe d’habitation n’existe pas.

Concernant la téléphone, cela est un peu plus cher à Montréal.
J’ai actuellement un forfait 8Go de DATA, pour 76$, avec SMS illimités uniquement au Canada.
— A savoir, il n’existe pas de forfait DATA illimité.
En France, j’avais un forfait illimité de DATA, avec SMS illimités pour environ 29 €

Concernant internet, cela est assez égal par rapport à Paris.

A Paris, j’avais la Fibre 300 Méga, pour 56 € chez Orange.
A Montréal, j’ai la Fibre 1G pour 72$, chez Bell.

Concernant l’alimentation, cela me semble moins chère, à l’exception du Vin et du fromage qui sont plus cher ici car ils sont importés. Concernant les vêtements, je constate que cela est moins cher qu’en France. Ils disposent notamment de pas mal de centre-commerciaux avec beaucoup de soldes, qui rendent les choses très abordables.

Olivier-Marion-Famille-Maplr

Quel accueil vous ont fait les Canadiens ?

A la différence de mes homologues français qui ont atteint le territoire canadien avant moi : je n’ai pas fait le choix de vivre sur le plateau, où la plupart des Français se logent.

Mon but en venant au Canada, au Québec, c’est de pouvoir discuter avec des Canadiens/des Québécois. Je me suis donc trouvé un petit coin sympa entre Ville-Marie et Le Village, où j’ai déjà pu partager un barbecue, un verre de vin le soir avec mes voisins québécois. En venant au Canada, c’était une chose qui me tenait à coeur : pouvoir créer un groupe social avec des québécois. J’avais entendu dire que les québécois sont très amicaux au travail, mais qu’il serait pratiquement impossible que je sois invité chez eux. Et bien faut croire que tout ce que l’on dit n’est pas forcément vrai 😉 

En tout cas, j’étais venu chercher ce côté humain/chaleureux que l’on accorde aux canadiens,et je ne suis pas déçu de ce que j’ai trouvé.

Soirée-Maplr-Developpeur-Montreal

Qu’est-ce que tu aimes le plus à Montréal ?

En France, j’étais un acharné du travail, j’avais des difficultés pour faire une cassure entre le monde pro et le monde perso.

Le rythme Montréalais : 9h-12h et 13h17h, m’a permis de réaliser cette cassure, je quitte le travail à 17h et j’ai encore toute la journée pour profiter du Vieux-port, des parcs aux alentours du travail qui sont nombreux car le Canada met un point d’honneur à préserver la flore qui l’entoure.

Je peux également m’adonner à mes passions qui se sont agrandies depuis que je suis ici :

  • la nature via les parcs, les paysages canadiens
  • les activités sportives (kayak, running, …)
  • la pâtisserie, la cuisine
  • les jeux de stratégie (escape game, jeux de plateaux)

De plus, le pays est vraiment multiculturel, que ce soit en hiver, que ce soit en été, que cela soit adressé aux végétariens, aux amoureux de la viande, au fan de métal. Il y a tout le temps des festivités, par exemple : 

  • Montréal en Lumière
  • PoutineFest ou RibFest
  • Ciné en plein air

Les rues sont tout le temps animées, c’est un vrai plaisir de se balader à Montréal. Et puis, ce n’est pas tout le monde qui peut se dire : “Tiens, j’ai rien de prévu ce week-end.”

  • et si l’on faisait un week-end dans un chalet près d’un lac, pour pêcher le monstre du loch ness avec la famille Maplr 😉
  • et si l’on allait faire un tour dans une cabane à sucre, 
  • (en hiver) et si on allait faire un balade en chien de traineaux, pour ce week-end.
olivier-Marion-Chalet-Maplr

Côté pro, est ce qu’il ya des différences avec la France ?

En me basant sur mes expériences passées, et en prenant un minimum de recul, je constate que j’ai toujours été un bon élément au sein d’une entreprise, je constate également que je suis toujours tombé dans des entreprises avec un bon produit et pour lequel il y avait du potentiel technique.

Donc pourquoi suis-je parti ?
Tout simplement qu’en restant 8h voir plus au sein de l’entreprise, j’avais besoin de trouver ce côté bienveillant, chaleureux, famille que j’espérais trouver dans un endroit où je reste quasiment la moitié de la journée. J’ai toujours trouvé les salariés de l’entreprise très chaleureux, mais l’univers au sein de l’entreprise ne l’était pas malheureusement, et cela est dommage au bout d’un moment de se dire que l’on reste dans l’entreprise uniquement grâce aux salariés que nous côtoyons tous les jours.

J’avais besoin de trouver ce sentiment, dans l’entreprise canadien que je recherchais.

Lors de l’entretien que j’ai passé dans l’entreprise canadienne, j’ai pu ressentir ce côté famille/chaleureux, qui me manquait. Et après 6 mois de présence dans l’entreprise, je peux dire avec joie que je ne suis pas déçu de mon ressenti.

De plus, l’accompagnement que j’ai eu de la part de MAPLR, m’a également attiré, car il existe bien l’esprit famille, chaleureux, bienveillant que je recherche tant chez MAPLR.

Actuellement je suis complètement comblé, tant sur le plan professionnel, que personnel, donc pour le moment, je ne suis pas prêt de repartir du Canada.

Un dernier conseil pour les futurs expatriés à Montréal ?

Nous avons tous des rêves dans la vie. L’un des miens était de venir sur le sol canadien afin de pouvoir découvrir toutes les merveilles que ce pays a à offrir.
Donc, je vous le dis : si votre rêve est plus ou moins similaire au mien, je n’ai qu’un seul conseil à vous donner :

“Prenez contact avec MAPLR: ce sont des personnes incroyables, qui sont à votre écoute, qui ne vous vendront pas de faux-espoirs, qui vous conseilleront au mieux et qui seront aussi enthousiastes et motivés que vous à ce que vous puissiez vous aussi réaliser votre rêve de venir au Canada, vivre votre vie.”

Envie de tenter l’aventure à Montréal ?

Si toi aussi tu as envie d’avoir plus de temps et un meilleur équilibre pro/perso ? Alors rejoins la famille Maplr. En plus, on, recherche activement quelqu’un de motivé pour tester la nouvelle activité en vogue à Montréal : le combat au sabre laser ! ? Alors n’hésite plus ! 

Chez Maplr, nous t’accompagnons gratuitement pour trouver ton emploi en TI à Montréal et sur toutes les phases de ta relocalisation. Notre équipe franco-canadienne est là pour te guider et te donner toutes les informations nécessaires pour démarrer sereinement ta nouvelle vie à Montréal !

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